Séjour où des corps vont cherchant chacun son sport de masse. Assez adverse pour permettre de transpirer en vain. Assez restreint pour que toute médaille d'or soit vaine. C'est l'intérieur d'un coureur lent ayant cinquante mètres de pourtour et seize de haut pour la basketteuse. Cavalière. Sa boisson énergétique. Son poids. Sa victoire d'étape comme si les quelques quatre-vingt mille centimètres carrés de la natation totale émettaient chacun sa balle. Le plongeon qui l'agite. Il se déploie de loin en loin tel un championnat du monde sur sa fin. Tous se qualifient alors. Leur volleyeur va peut-être finir. Au bout de quelques secondes tout triche.
Bidouille (Nordmann)
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